elle me demande de lui laisser du temps

Situ restes avec t'es un cuck "Gneugneugneu je l'aime" mais c'est quoi cette fragilité putain - page 3 - Topic Ma copine me demande de la laisser me tromper du 12-06-2020 15:54:11 sur les forums nonton the walking dead season 11 episode 24. Fille qui quitte son copain pour moi et me demande de lui laisser le temps Afin de sortir de la depression. Bonjour, je viens vers vous en quete de conseils, et de reponse a mes questions. je vais vous expliquer la sitation en detaille Commencons gui?re le commencement ; j’ai flashe sur une fille dans mon amphi a l’unnif au tout debut de l’annee, j’ai su directement que c’etait la bonne, la femme de ma vie ! Puis, quelques temps apres, j’ai appris qu’elle etait en couple depuis 6 annees, donc j’ai essaye d’une zapper totalement avec respect pour son couple, elle et son copain. Neanmoins, au fond de moi j’etais toujours un tantinet “amoureux” d’elle des que je la voyais, mon coeur battait la chamade. J’avais toujours une bri?ve flamme d’attirance envers elle. Peut apres noel, nous avons commence a parler ensemble, ainsi, m’avoue que le couple va mal, afin d’effectuer simple elle me raconte sa vie, ainsi, moi de mon cote, je ressent une attirance aussi de sa part ; elle rigolait a toutes mes blagues pourrie ou pas, etc etc. Par la suite, j’habite venu chez elle pour qu’elle m’a donne des cours de rattrapage sans remarques derriere la tete ma part ni de sa part non plus, du fait, que je savais qu’elle etait deja en couple et que je ne voulais jamais venir semer ma discorde Vers fin mars, je lui avoue que j’suis tombe sous son charme, elle me dit que c’est impossible pour sa part pour le moment elle essaye de sauver le couple une derniere fois Durant quelques semaine, j’ai du oasis active pc me forcer a ne plus affirmer a i§a durant des vacances de paques, 1 mois apres, elle revient par mois comme au debut de l’annee et ainsi, c’est a cet instant que l’histoire a veritablement commence Nous avons commencer a passer nos journees ensemble a l’unnif, meme apres des lei§ons on se retrouve dans ma voiture toute la soiree a ecouter d’la musique, rigoler jusqu’au temps ou elle a commence a m’avouer qu’elle etait attirer par moi et idem i mon sens je lui ai devoile que j’etait “amoureux” d’elle, que j’avais flashe. Dans votre premier moment, elle a dit “c’est i chaque fois imposible i mon sens, laisse moi un moment afin que je cloture mon couple, ne me presse nullement. “ Mais il y a 1mois, elle a commence a m’avouer que je lui manque, qu’elle pense encore et puis a vouloir quitter son compagnon me concernant du faite qu’elle n’est plus amoureuse de lui depuis bien 6 mois, elle m’avoue ses craintes envers moi qu’elle chercher avant bien la marketing d’un logement, que je ne joue jamais avec i§a, que j’suis quelqu’un de serieux, fonder plusieurs chose de durable etc etc. Qu’elle de le cote i§a avait prise sa decision vis a vis de son copain, qu’elle essaye de lui dire calmement et gentillement que c’etait fini entre eux 2. Enfin . C’est arrive l’annee passee, elle m’a fera venir 1 semaine h24 chez celle-ci pour etudier ensemble, aussi que le compagnon ete toujours la, dans la meme maison. Je precise, je dormais au salon et le copain ou le ex maitenant et elle, ensemble dans le lit . Situation tres etrange i mon sens tel pour elle . Soit ! Au bout d’1 jours chez elle, elle a demande a son compagnon de partir car celle-ci n’en pouvait plus de lui, elle ne voulait rien de lui, en gros laisse moi tranquil pour etudier, celui li c’est execute et ne revenait que le apri?m dormir avec elle avec habitude je precise quand meme qu’ils n’ont plus couche ensemble depuis des mois. . Elle a commence par me faire des calins, bisous au cou, des carresses, a me demander dans calins, d’une prendre dans mes bras, des bisous . Un soir que son compagnon n’etait nullement la elle a commence a me faire des calins et reclamer toute la soiree apres mes calins. j’avais extrement ardu a resister a ses envies et aux miennes. Un moment, sans vraiment controler la situation, nous nous sommes exites. Nous nous sommes repris de peu. Chacun reste retourne dormir, la nuit lendemain, je m’excuse pour le petit jeux “tu n’arrivera jamais a me faire craquer tel celle-ci disait” on reste pertinent via ce thi?me de ne plus faire ca et arreter les calins du fera qu’elle soit toujours en couple, mais on savait chacun qu’on devait le faire. ca faisait des temps qu’on se resiste sexuellement et si on est rentre chez elle plusieurs heures apres nous avons fera les prelis . durant bien l’apres midi. Le jour meme, aussi qu’elle etait forcement dans faire mes bras, elle m’a dit ” c’est bon, tu a gagne je quitte, mon compagnon” Nous avons passe 2 nuit a l’hotel la premiere magique et le lendemain, elle a debute sa depression. Elle a vraiment realise qu’elle avait quitte son mec pour du bon. Depuis, elle deprime, elle ne mange plus, ne me parle plus, ne souhaite plus que je la touche, elle ne m’ecoute plus non plus. Elle est aussi partie chez sa meilleur amie. Et Actuellement elle me demande d’la laisser respirer, lui laisser le temps de regler ses problemes, que je devais d’abord penser a moi et pas a elle, qu’elle ne voulait affirmer a personne pour le moment. Maintenant cette dernii?re reste perdue, 1 semaines elle me dit ” cherchons un appartement Afin de nous” l’autre elle me dit j’dois reflechir ne me presse jamais. Ce que j’aimerai savoir pourquoi elle a reagit comme ca avec moi ? Qu’est ce que celui-ci s’est passe dans sa tete aussi que quelques temps avant elle etait dingue de moi ? Qu’est qu’elle attend tel distance entre nous 2 ? Combien de temps libre en moyenne Afin de qu’elle ne deprime plus. A quoi je dois m’attendre de sa part ? Télécharger l'article Télécharger l'article Faire qu'une fille veuille à nouveau de vous peut être un challenge, surtout si la relation s'est mal terminée. Cependant, si vous savez que vous avez une connexion très forte, il vaut la peine de ramasser les braises et d'essayer de raviver la flamme. Pour que cette fille veuille à nouveau de vous, il vous faudra lui laisser de l'espace, tout en lui rappelant à quel point vous êtes fantastique. 1 Laissez de l'espace à la fille. Vous pourriez penser que le meilleur moyen de récupérer cette fille est de vous battre bec et ongle pour elle, vous feriez en fait mieux de la laisser respirer plutôt que de lutter tout de suite pour son amour. À moins que les choses ne deviennent sérieuses entre elle et un autre garçon et que vous soyez déterminé à les faire rompre, vous devriez prendre vos distances pour lui laisser le temps de guérir et d'avoir une nouvelle perspective sur votre relation. Cela ne signifie pas que vous devez couper toute communication, à moins que vous ne pensiez que ce soit préférable. Mais ne lui envoyez pas un message toutes les 5 minutes et ne lui demandez pas de vous voir tout le temps, à moins que vous ne vouliez lui faire peur. En lui donnant de l'espace, elle pensera plus facilement à vous. Elle se dira Je n'ai pas de nouvelles de [insérez votre nom] depuis longtemps. Il doit aller très bien sans moi... Elle sera intriguée et se demandera ce que vous devenez. Si elle propose de vous voir après peu de temps, très bien. Mais ne soyez pas trop pressant lorsque vous vous voyez. Lui donner de l'espace est aussi un signe de maturité. Elle vous désirera alors encore davantage. Cela va sans dire, ne laissez pas passer trop de temps avant de réapparaitre. Attendez suffisamment longtemps pour qu'elle ait le temps de se remettre, mais pas si longtemps qu'elle oublie toutes vos qualités. Chaque situation est différente, voyez ce qu'il en est. Mais en règle générale, laissez passer au moins quelques semaines, mais pas plus de deux mois. 2 Réfléchissez à ce qui s'est mal passé. Alors que vous laissez de l'espace à cette fille, ne restez pas les bras croisés en attendant que le temps passe. Plutôt, songez aux raisons pour lesquelles votre relation a pris fin. S'il s'agit d'une raison évidente, comme si vous ne lui laissiez pas suffisamment de temps pour elle, super. Mais s'il s'agit de quelque chose de plus compliqué, une combinaison d'elle ne se sentant pas suffisamment appréciée et de vous, passant trop de temps à sortir, par exemple, vous devrez mettre le doigt sur le ou les problèmes qui ont fait fuir votre amoureuse. Si c'est elle qui a mis fin à la relation, alors votre challenge n'en sera que plus grand. Songez à toutes les raisons pour lesquelles elle a pris cette décision. Si elle vous a quitté brusquement, lisez de vieux emails ou SMS pour voir si vous pouvez voir percer le problème. Si c'est vous qui avez mis fin à la relation, votre challenge sera différent. Vous devrez la convaincre que vous n'allez pas lui briser le cœur, encore une fois. 3 Faites un plan pour remédier au problème. Une fois que vous avez localisé le problème, c'est à vous de trouver une solution. S'il y a plusieurs problèmes, vous devrez trouver plusieurs solutions ou une solution globale qui adressera tous ces problèmes. Si la relation a pris fin parce que vous passiez beaucoup trop de temps avec vos amis, trouvez un moyen de faire de cette fille une plus grande priorité en sortant en amoureux chaque semaine et en trouvant de nouvelles choses à faire à deux. Si la relation a pris fin à cause de votre inhabilité à communiquer, pratiquez l'honnêteté et la compassion dans le quotidien de votre relation. Pour remédier au problème, vous devrez entre autres travailler sur vous-même. Il n'y a pas moyen que vous n'ayez eu aucun tort dans la relation. Une autre partie du plan sera de travailler sur la façon dont vous percevez cette fille si son obsession pour les chevaux vous rend fou, trouvez un moyen pour que cela ne vous embête plus avant de continuer. Si vous devez travailler sur des problèmes majeurs, alors faites un plan sur le long terme pour savoir comment vous allez vous y prendre, que ce soit consulter un thérapeute, abandonner une addiction ou complètement repenser certains traits de votre personnalité. 4 Travaillez sur vous-même. Même si vous pensez avoir trouvé le problème et la solution exacte qui vous ramèneront instantanément cette fille, c'est rarement aussi simple. Vous devez travailler à devenir vous-même une personne généralement plus désirable. Lorsque vous reviendrez vers elle, elle verra la différence. Cela signifie travailler sur vous-même à l'extérieur et à l'intérieur, car bien que vous faire couper les cheveux ne l'impressionnera pas, avoir l'air d'être heureux de vivre et d'être conscient de l'image que vous projetez attirera son attention. Consacrez plus de temps à vos passetemps préférés, que ce soit le vélo ou la mécanique. Être enthousiaste à propos de vos passions fera de vous une personne agréable à qui parler. Travaillez à développer une attitude plus positive vis-à-vis de la vie. Si elle se sent heureuse simplement d'être près de vous, alors elle voudra probablement continuer à vous voir. Publicité 1 Montrez-lui que vous allez très bien sans elle. Si elle entend dire que vous êtes au fond du trou, pleurez en public et criez son nom dans les rues, elle sera repoussée plus vite qu'il ne faut de temps pour dire tu me manques !. Vous voudriez plutôt qu'elle entende et voit que vous passez du bon temps au quotidien sans elle à vos côtés. Elle vous verra comme une personne dynamique, qui a une vie bien remplie et commencera à se demander pourquoi vous ne montrez pas plus de signes qu'elle vous manque. Passez du temps, de façon décontractée, dans des endroits où vous avez tous deux des chances de vous retrouver. Assurez-vous d'être avec des amis et qu'elle vous voit rire et vous amuser, sans trop en faire. Si vous la voyez dans un contexte social, comme lors d'une fête, ne lâchez pas tout ce que vous faites pour courir vers elle et lui demander comment elle va. Allez la voir plus tard et montrez-lui que vous avez une vie sociale très occupée sans elle. 2 Faites voir à ses amis qu'elle a besoin de vous. C'est un fait vous ne pourrez jamais la récupérer si ses amis ne vous supportent pas. Si ses amis ne vous aiment pas parce que vous étiez trop jaloux, pas assez sympa avec eux ou juste parce que vous étiez un mauvais petit ami, alors vous devrez leur montrer que vous n'étiez peut-être pas si mal après tout, afin qu'il passe l'information à la fille que vous voulez. Si vous croisez ses amis, faites un réel effort pour faire la conversation sans que vos intentions soient trop évidentes. Si vous parlez à ses amis, ne parlez pas tout de suite d'elle. Vous pouvez demander comment elle va, comme si de rien n'était, mais en leur montrant que vous êtes vraiment blessé, vous serez perçu comme vulnérable. 3 Rapprochez-vous d'elle lorsque le moment est venu. Après que suffisamment de temps ait passé et que vous ayez réapparu sur son radar, vous devrez travailler doucement à entrer de nouveau dans sa vie. Ce pourrait être aussi simple que vous arrêter pour parler 5 minutes avec elle si vous la croisez par hasard ou vous assoir l'air de rien à côté d'elle au déjeuner ou même lui envoyer un SMS pour l'avertir que quelque chose qui lui plairait est sur le point d'être diffusé à la télé. Soyez décontracté. Soyez gentil avec elle tout en la laissant se demander si vous cherchez simplement à être amis. Ne la couvrez pas de compliments à la minute où vous la revoyiez. Une fois que vous avez recommencé à parler, relevez la barre. Invitez-la à quelque chose de simple, comme prendre un café ou vous rendre à une conférence ensemble. Ne l'invitez pas encore à quelque chose de romantique. 4 Montrez-lui que vous avez changé. Vous pouvez lui montrer que vous êtes un homme différent sans crier regarde comme j'ai changé ! Passez suffisamment de temps avec elle pour qu'elle voie que vous avez changé vos manières, si cela était nécessaire. Si elle pensait que vous étiez trop désordonné, faites un effort de présentation. Si elle vous critiquait, car vous étiez toujours en retard, faites un effort pour être en avance la prochaine fois que vous irez prendre un café. Ne mentionnez pas ces changements, laissez-la s'en rendre compte et elle sera réellement impressionnée. Ces changements devraient vous paraitre profonds. Ne changez pas simplement pour lui faire plaisir ou vous reprendriez vite vos mauvaises habitudes à la première occasion. Si vous savez que vous l'avez vraiment fait souffrir lorsque vous étiez ensemble, il n'est jamais trop tard pour vous excuser. Elle sera vraiment touchée que vous ayez autant réfléchi à la relation après qu'elle ait pris fin. 5 Faites-vous désirer. C'est ça. Lorsque vous pensez être sur le point de la récupérer, lorsqu'elle réalise à quel point elle était chanceuse, ce n'est pas le moment de déclarer votre amour. Montrez-lui plutôt qu'elle doit se battre pour votre affection et qu'elle n'a pas simplement à tomber dans vos bras. Alors que vous commencez à passer de plus en plus de temps ensemble, veillez à ne pas toujours être disponible. Soyez injoignable pendant quelques heures et laissez-la se demander où vous êtes. Son esprit fera des tours. Si vous sortez avec d'autres filles, mentionnez-les sans aller dans les détails, afin qu'elle pense vraiment qu'elle pourrait vous perdre. 6 Assurez-vous qu'elle veuille vous récupérer. Une fois que vous pensez avoir toute son attention et l'avez même rendue un petit peu jalouse, il est temps de vérifier qu'elle veut vraiment vous récupérer avant de lui dire ce que vous ressentez. Bien que vous n'ayez pas besoin d'être sûr à 100 % de ce qu'elle ressent, plus vous êtes sûr qu'elle veut de vous, moins vous avez de chances de vous mettre dans l'embarras. Voici quelques signes qu'elle veut vous récupérer. Observez son langage corporel. Lorsque vous lui parlez, se penche-t-elle vers vous et vous regarde-t-elle dans les yeux, en regardant le sol chaque fois qu'elle est gênée ? Voyez si elle est jalouse. Demande-t-elle si vous voyez d'autres femmes ou parait-elle énervée lorsque vous parlez à d'autres filles ? Si oui, elle pourrait vous vouloir pour elle toute seule. Voyez si elle a recommencé à vous traiter comme un petit ami. Vous a-t-elle pris dans ses bras, fait des compliments et invité à des activités qui ressemblent à des activités romantiques ? 7 Dites-lui ce que vous ressentez. Une fois que vous êtes à peu près sûr qu'elle partage vos sentiments, il n'y a plus d'intérêt à tourner autour du pot. Trouvez un moment où vous pouvez être seuls tous les deux et choisissez un endroit légèrement romantique et offrant suffisamment d'intimité. Puis regardez-la dans les yeux et dites-lui à quel point elle vous manque et à quel point vous aimeriez vous remettre avec elle. Pas besoin de vous mettre à genoux, mais vous devrez lui montrer que vous avez beaucoup réfléchi à votre relation et que vous êtes déterminé à la faire marcher cette fois-ci. Soyez spécifique. Montrez-lui les efforts que vous avez faits pour changer plutôt que de faire des promesses creuses. Donnez-lui du temps. Si elle est d'abord réticente, ne vous montrez pas déçu ou en colère. Souvenez-vous que même si elle veut à nouveau de vous, elle veut néanmoins protéger son cœur. Publicité 1 Donnez un nouveau départ à votre relation. Si vous êtes chanceux et que cette fille vous donne une seconde chance, alors essayez de démarrer sur de nouvelles bases autant que possible. Bien que vous puissiez à nouveau profiter à deux des mêmes restaurants, séries et choses que vous aimiez faire ensemble, il est important de choisir de nouvelles activités et stratégies de relations afin que votre relation ne semble pas être une autre version de votre relation précédente. Vous pouvez vous souvenir de vos bons moments passés ensemble, mais évitez de reparler ou de repenser aux mauvaises expériences partagées, à moins que vous ne puissiez en rire. Ne la considérez pas comme un acquis. Que vous soyez à nouveau ensemble ne signifie pas que vous ne devez pas prendre le temps de lui dire à quel point elle compte pour vous. Allez-y doucement. Agissez comme si vous commenciez une nouvelle relation au lieu de vous remettre directement dans l'ancienne. Ne passez pas tout votre temps ensemble tout de suite, même si c'est ce que vous faisiez avant de rompre. 2 Ne faites pas les mêmes erreurs. Ne soyez pas tout le temps inquiet que la relation prenne fin, mais soyez conscient de ce qui a fait échouer votre relation en premier lieu. Si c'est le fait que vous passiez trop de temps avec vos amis et que vous continuez à passer tout votre temps avec eux, limitez vos sorties. Et si la relation a pris fin à cause de quelque chose qu'elle a fait, ayez une conversation honnête si cela se reproduit. Souvenez-vous à quel point vous avez souffert pour avoir fait ces erreurs une première fois. Vous ne voulez pas revivre ça à nouveau. 3 Ne réfléchissez pas trop. Bien que vous deviez être conscient des erreurs que vous avez faites, vous ne pouvez pas être obsédé par celles-ci ou votre relation serait vouée à l'échec avant qu'elle n'ait une chance de démarrer du bon pied. Si une mauvaise situation se présente, vous pouvez vous souvenir de ce qui est arrivé la dernière fois et gérer la situation avec précaution, mais ne vous souciez pas constamment de faire échouer la relation ou vous ne pourrez pas profiter de votre temps à deux. Si vous avez toujours peur de faire tout rater, votre petite amie s'en rendra compte et la relation ne sera pas très agréable pour elle non plus. 4 Souvenez-vous d'être vous-même. Si vous avez dû faire un changement important pour le mieux pour être dans cette relation, alors, qu'il en soit ainsi, mais vous ne devriez pas vous comporter comme un chien la queue entre les jambes parce que vous voulez vous racheter pour le mal causé, à tel point que vous ne pouvez pas vous détendre. Au final, votre petite amie a été attirée par vous la première fois pour ce que vous étiez, alors n'oubliez pas de lui montrer les aspects de votre personnalité qu'elle aime le plus. Si vous pensez que vous ne pouvez pas être vous-même sans causer du tort à votre relation, alors vous devrez revoir vos propriétés. Ayez confiance. Souvenez-vous qu'elle vous aime vous et non une fade version de vous, désespéré pour de l'affection. Publicité Avertissements Assurez-vous de dresser la liste de tous les problèmes avant de vous embarquer dans cette mission, ne laissez aucun problème de côté. Si vous passez du temps seul avec votre ex, ne critiquez pas ouvertement son nouveau petit ami, cela révèlera vos intentions de manière trop évidente et vous mettra dans une position gênante. Assurez-vous d'être subtile, évaluez votre ex avant de mettre ces étapes en pratique, elle pourrait avoir changé d'une manière ou d'une autre, pour le mieux ou le pire. Dans les deux cas, vous pourriez ne pas aimer ce qu'elle est devenue ou ce pourrait être plus simple de la récupérer. Publicité À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 17 125 fois. Cet article vous a-t-il été utile ? Comment me débarrasser du lierre du voisin? Mon voisin laisse pousser du lierre et différents végétaux sur mon mur de pierre. Je lui ai demandé de les enlever, mais il n’en fait rien. Puis-je passer dans son allée éliminer ces végétaux qui risquent d’endommager la solidité de mon mur? Michèle C., par rédaction vous répondVous ne pouvez pas pénétrer sur son terrain pour éliminer ces végétaux, il s’agirait d’une violation de son droit de propriété. Vous devez le mettre en demeure, par lettre recommandée avec avis de réception, de procéder à leur élimination, en précisant que vous vous réservez le droit de lui demander réparation de tout dommage constaté sur votre mur de n’obtempère pas, prenez des photos et saisissez le conciliateur de justice pour qu’il intervienne. Cette étape est obligatoire en cas de conflit de voisinage avant de saisir en dernier recours le tribunal judiciaire dont vous lire aussi "Les plantations de notre voisin nous cachent la vue" Fille qui quitte le copain me concernant et me demande de lui laisser le temps pour sortir une je viens vers vous en quete de conseils, et de reponse a mes questions. je vais vous expliquer la sitation en detaille Commencons nullement le commencement ; j’ai flashe sur une fille dans mon amphi a l’unnif au tout debut de l’annee, j’ai su directement que c’etait la bonne, la femme ma vie ! Puis, quelques temps apres, j’ai appris qu’elle etait en couple depuis 6 ans, donc j’ai essaye de la zapper totalement via respect Afin de le couple, i§a et son copain. Mais au fond de moi j’etais toujours un tantinet “amoureux” d’elle des que je la voyais, mon coeur battait la chamade. J’avais forcement une simple flamme d’attirance envers cette dernii? apres noel, nous avons commence a parler ensemble, ainsi, m’avoue que le couple va en gali?re, afin d’effectuer simple elle me raconte sa life, et moi du cote, je ressent une attirance aussi de sa part ; elle rigolait a toutes faire mes blagues pourrie ou jamais, etc tard, j’habite venu chez cette dernii?re Afin de qu’elle me procure des cours de rattrapage sans pensees derriere la tete de ma part ni de sa part non plus, du fera, que je savais qu’elle etait deja en couple et que je ne voulais jamais venir semer la discordeVers fin mars, je lui avoue que je suis tombe sous le charme, elle me dit que c’est impossible Afin de sa part pour le moment elle essaye de sauver le couple une derniere fois Durant certains semaine, j’ai du me forcer a ne plus affirmer a cette dernii?re durant nos vacances de paques, 1 mois apres, elle revient par mois tel au debut de l’annee et ainsi, c’est a ce moment que l’histoire a veritablement commenceNous avons commencer a passer les journees ensemble a l’unnif, meme apres nos cours on se retrouve dans ma voiture toute la soiree a ecouter de la musique, rigoler jusqu’au semaines ou elle a commence a m’avouer qu’elle etait attirer par moi et idem me concernant je lui ai dit que j’etait “amoureux” d’elle, que j’avais flashe. Dans un premier temps libre, elle a dit “c’est forcement imposible pour moi, laisse moi du temps afin que je cloture mon couple, ne me presse gui?re. “Mais depuis 1mois, elle a commence a m’avouer que je lui manque, qu’elle pense encore qui plus est a vouloir quitter le compagnon pour moi du faite qu’elle n’est plus amoureuse de lui depuis au moins 6 mois, elle m’avoue ses craintes envers moi qu’elle chercher avant bien la securite tout d’un logement, que je ne a gui?re avec i§a, que j’suis quelqu’un de serieux, fonder des chose de durable etc etc. Qu’elle de son cote i§a avait prise sa decision vis a vis de son copain, qu’elle essaye de lui dire calmement et gentillement que j’ai ete fini entre eux . C’est arrive la semaine passee, elle m’a fait venir 1 semaine h24 chez celle-ci Afin de etudier ensemble, aussi que son compagnon ete toujours la, dans la meme maison. Je precise, je dormais dans le salon et le copain ou le ex maitenant et elle, ensemble au lit . Situation tres etrange i mon sens comme i sa place . Soit !Au bout d’1 jours chez elle, elle a demande a le compagnon de partir car elle n’en pouvait plus de lui, elle ne voulait rien de lui, en gros laisse moi tranquil Afin de etudier, celui ci c’est execute et ne revenait que le apri?m dormir avec elle par habitude je precise quand aussi qu’ils n’ont plus couche ensemble depuis des mois. .Elle a commence par me faire des calins, bisous dans le cou, des carresses, a me demander dans calins, en prendre dans mes bras, des bisous . Un apri?m que le compagnon n’etait nullement la elle a commence a me faire des calins et reclamer toute la soiree apres mes calins. j’avais extrement Complique a resister a ses envies et aux moment, sans vraiment controler la situation, nous nous sommes exites. Nous nous sommes repris de peu. Chacun reste retourne dormir, la nuit lendemain, je m’excuse pour le petit jeux “tu n’arrivera gui?re a me faire craquer tel i§a disait” on reste net concernant le sujet de ne plus faire ca et arreter les calins du fera qu’elle soit forcement en couple, mais on savait chacun qu’on devait le Realiser. ca faisait des semaines qu’on se resiste sexuellement et si l’on est rentre chez elle quelques heures apres nous avons fait les prelis . durant tout l’apres midi. Le apri?m meme, aussi qu’elle est i chaque fois dans mes bras, elle m’a dit ” c’est bon, tu a gagne je quitte, mon compagnon”Nous avons passe 2 nuit a l’hotel la premiere magique et le lendemain, elle a debute sa depression. Elle a vraiment realise qu’elle avait quitte le mec pour du elle deprime, elle ne mange plus, ne me parle plus, ne souhaite plus que je la pointe, elle ne m’ecoute plus non plus. Elle est meme partie chez sa meilleur aujourd’hui elle me demande d’la laisser respirer, lui laisser le temps de regler ses problemes, que je devais d’abord penser a moi et pas a elle, qu’elle ne voulait affirmer a personne concernant le moment. Maintenant i§a est perdue, 1 jours elle me dit ” cherchons un appartement Afin de nous” l’autre elle me dit je dois reflechir ne me presse gui? que j’aimerai savoir pourquoi elle a reagit comme ca avec moi ? Qu’est votre que celui-ci s’est passe dans sa tete aussi que quelques temps avant elle etait dingue de moi ?Qu’est qu’elle attend tel distance entre nous 2 ? Combien de temps en moyenne pour qu’elle ne deprime quoi j’dois m’attendre de sa part ? 1Comme chacun sait, la demande auprès de l’analyste ne se réduit pas à son énoncé. Elle requiert un travail d’analyse tenant compte de l’ambivalence de cette demande, de qui la porte et du désir de l’analyste. Elle présente un style et des modalités spécifiques, où se jouent notamment la frustration et la répétition, parce qu’elle est constitutive des rapports humains dès l’origine. 2Quelqu’un, par ailleurs maître de soi, souffre d’un conflit interne auquel il ne peut mettre fin tout seul, si bien qu’il finit par venir chez le psychanalyste à qui il se plaint et demande de l’aide. » C’est ainsi que Freud [1] définit les conditions idéales de la demande adressée au psychanalyste. Il le fait à propos d’une jeune fille, la jeune homosexuelle », qui s’affiche dans Vienne au bras d’une demi-mondaine. La jeune fille, conduite à Freud par ses parents, ne souhaite en rien changer. Son père paraît surtout soucieux de mettre fin au scandale en la ramenant dans le droit chemin, celui du mariage. Quant à la mère, elle s’avère faire preuve d’une certaine complaisance envers les confidences de sa fille. Dans une telle situation, Freud estime difficile de mener à bien une analyse avec la jeune fille et énonce les conditions [2] que la demande doit réunir, tout en reconnaissant que c’est loin d’être toujours le cas. Il n’est pas rare, en effet, qu’un mari demande pour sa femme, une mère pour son enfant, un médecin pour son patient récalcitrant ou un juge pour un délinquant. Dès lors, le conflit est, a priori, non pas interne, intra-psychique, mais interactif, et les éléments de la demande sont dispersés entre plusieurs protagonistes. D’où, parfois, la nécessité de travailler au plan des interactions. Raison pour laquelle les psychanalystes, lorsqu’ils travaillent avec les enfants, ou des psychotiques, ou en institution, peuvent être amenés à travailler avec les parents ou ceux qui ont en charge le patient, afin de permettre à celui qui souffre d’élaborer sa demande et, éventuellement, sa non-demande. En tout cas, de cette inadéquation fréquente entre la demande idéale et les demandes effectives, il résulte un attendu et une conséquence. Un attendu nous ne pouvons opérer qu’à partir d’une demande du patient ou reprise à son compte par lui, et non sur commande d’un tiers parent, professeur, juge, chef de service…. Une conséquence il convient d’analyser cette demande et d’abord auprès de celui qui la porte. C’est là une attitude singulière un commerçant, ma boulangère par exemple, ne se soucie pas d’analyser ma demande, elle y répond, elle la satisfait. Peut-être pourra-t-elle, cependant, si je viens dix fois dans la même journée lui acheter une baguette, se demander si je ne lui veux pas autre chose. C’est précisément la position dans laquelle nous sommes, de supposer autre chose derrière la demande qui nous est adressée, derrière l’explicite un implicite que nous estimons avoir à élucider, en en dégageant les tenants et aboutissants. D’où la nécessité de suspendre la réponse à la demande pour permettre son déploiement dans la parole et faire apparaître, en deçà et au-delà de ce que la personne demande, ce qu’elle vous appelle de la part du docteur la pratique, en effet, nous sommes amenés à recevoir toutes sortes de demandes qui sont loin de réunir les conditions idéales définies par Freud. Je ne m’attarderai pas sur les demandes disparates, parfois franchement aberrantes, en tout cas peu travaillables, telle celle d’un délinquant sexuel venant la veille de son procès engager un traitement sur les conseils de son avocat, ou des parents en instance de divorce cherchant dans les problèmes de leur enfant la preuve certifiée de la mauvaiseté foncière de leur conjoint, ou encore de ce médecin souhaitant que je teste son patient alcoolique en feignant de lui trouver une dégradation intellectuelle, comme lui-même avait feint de lui trouver un gros foie ». Je prendrai l’exemple d’une demande assez ordinaire, reçue par téléphone et formulée ainsi Bonjour docteur, je vous appelle de la part du docteur M. pour mon petit garçon de deux ans, parce qu’il est agressif avec les autres enfants. » Une simple analyse sémantique du contenu de cet énoncé montre la dispersion des éléments de la demande, entre la maman et le médecin qui allèguent, l’enfant qui porte le symptôme agressivité, la souffrance qui n’est pas évoquée… En outre, la mise en avant des titres de docteur » indique la nature manifestement médicale de la démarche. Je reçois donc la maman avec son enfant et m’attache à lui faire expliciter les termes de sa demande. Que veut-elle dire par agressivité ? Où il apparaît que ce sont les dames de la garderie » qui l’ont interpellée sur le fait que son garçon, appelons-le Johnny, mord les autres enfants à l’occasion de conflits autour des jouets. Elle en a parlé à son médecin, le docteur M., qui lui a conseillé de s’adresser à moi. Quant à elle, ces conduites agressives, qui n’apparaissent pas hors de ce contexte, ne l’inquiètent pas davantage, Johnny, selon elle, ne posant pas et n’ayant pas posé d’autres problèmes dans les différents domaines du développement. 4Pendant cet échange, Johnny, de façon répétitive, descend des genoux de sa maman pour s’asseoir sur le sol et enlever ses chaussures. À chaque fois, tout en continuant à parler et sans manifester la moindre impatience, elle se lève, le reprend sur ses genoux et lui remet ses chaussures ; il redescend et les enlève à nouveau… Comme j’attire son attention sur cette conduite, elle m’explique que Oui, à la maison aussi, c’est la même chose je l’habille, il se déshabille aussitôt, il me vide les tiroirs, les placards, les armoires… Il veut toujours imposer sa volonté. » Et que fait-elle ? Eh bien, je range, je passe mon temps à être derrière lui, pour le rhabiller, ramasser, remettre les choses en place… » Elle n’en paraît pas outre mesure affectée Vous savez, c’est un garçon, ils sont plus difficiles que les filles, ils savent ce qu’ils veulent. » L’entretien se poursuivant, le manège de Johnny vire à l’aigre il se débat lorsque sa mère le reprend, gémit, pleure et, finalement, se plante entre elle et moi, s’accroupit et, me regardant droit dans les yeux, fait caca dans sa culotte, heureusement pourvue d’une couche. Comment mieux signifier ses sentiments à ce personnage qui vient distraire sa mère et troubler leur relation duelle ? Vous voyez, me dit sa maman, établissant spontanément un lien entre pulsion anale, emprise et agressivité, il veut toujours imposer sa volonté. » De la place visée dans le transfert par Johnny, celle de l’ emmerdeur », je lui demande comment le papa prend les choses. Lui, il est routier, il ne revient qu’en fin de semaine, il n’a pas envie de rentrer pour faire la police, il préfère jouer avec lui. D’ailleurs, sa mère m’a dit qu’enfant il était pareil, il était aussi très dur, elle a eu beaucoup de mal avec lui, son mari n’était jamais là. Plus grand, il se bagarrait souvent, il ne fallait pas venir le chercher. Ça lui a parfois attiré des ennuis ! » Comme je lui fais remarquer que ces conduites ne semblent pas lui déplaire vraiment, elle acquiesce Un garçon doit savoir s’imposer, non ? » Elle peut alors verbaliser qu’elle ne souhaite pas vraiment de changement et que ce qu’elle attendait de moi, au fond, c’étaient des arguments un test, par exemple, l’avis d’un spécialiste, à opposer aux dames de la garderie qui avaient, plus ou moins explicitement, mis en doute la normalité de son enfant. Si l’entretien lui a permis de comprendre que mon rôle n’est pas celui-là, la conduite de son enfant ne lui semble pas, cependant, exprimer une souffrance qui justifierait, dans l’immédiat, une poursuite de nos rencontres. 5Ainsi se formule et s’élabore, au fil de l’entretien, selon une pente d’ailleurs assez spontanée pour peu que l’on n’y fasse pas obstacle la description phénoménologique actuelle de la conduite désignée comme symptomatique quand, comment, avec qui, depuis quand ?… ;à partir de quoi l’anamnèse la resituera dans l’histoire de l’enfant troubles antécédents, développement dans la petite enfance…, ponctuée des avatars de l’organisation pulsionnelle ;d’où l’on pourra aborder les relations des parents avec l’enfant manière d’être et de réagir à lui, conduites et croyances éducatives de l’un et de l’autre… et les apprécier au regard de la mise en place de l’œdipe ;ce qui les amènera à évoquer leur propre enfance comment ils étaient, ce que leurs parents disaient d’eux, comment ils ont été élevés…, leur propre névrose infantile ;et, ainsi, de retrouver une filiation sur trois générations, articulée autour du trait d’identification qui sous-tend le symptôme, tel qu’il s’énonce dans la parole et dont il convient d’apprécier la possibilité de le mobiliser dans une relation si ce travail préalable est un temps nécessaire, il n’est pas pour autant un temps unique qui verrait le dévoilement définitif d’une demande latente derrière une demande manifeste, contrairement à ce que pourrait laisser penser l’exemple ci-dessus. Dès lors qu’une relation suivie s’engage, il s’avère qu’elle est régulièrement ponctuée de demandes substitutives plus ou moins exprimées et auxquelles l’analyste aura à ne pas répondre pour permettre la poursuite de l’analyse. C’est qu’en effet la demande est au cœur même de toute relation à l’autre, avec les modalités et le style particulier qu’elle peut prendre dans chaque cas. Elle est constitutive des rapports humains et se met en place, dès le début de la vie, dans la relation du bébé à sa mère. Elle résulte de la prise immédiate du biologique dans l’ordre langagier qui l’antécède et règle les rapports humain, en effet, arrive dans un monde structuré par le langage. La découpe de son monde, de son environnement, des objets qui l’entourent les barreaux de son lit, la cloche musicale, les rideaux de sa chambre…, les événements qui y prennent place, obéissent à une organisation qui ne doit plus grand-chose à un ordre naturel auquel son équipement instinctuel lui permettrait une adaptation quasi instantanée. Il va donc lui falloir être introduit dans cet ordre langagier, dont la première expression tangible est, selon la formule de Lacan, que ça parle autour de lui ». Pour en arriver à lui-même parler le monde, faire passer au-dedans ce dans quoi il baigne », l’incorporer, il devra en passer par le repérage de ce qui, dans ce ça parle », parle de lui. Ce qui ne saurait se faire sans quelqu’un qui lui parle. Autrement dit, le point de rencontre entre le cri a-signifiant du bébé, pure expression d’un besoin cherchant la satisfaction, et ce monde de langage, ce point de rencontre que Lacan nomme le lieu de l’Autre », devra être supporté, incarné, par un autre réel, la mère en général. Celle-ci, en répondant à ce cri, en acte par sa présence, son sein, le biberon, les soins, va le transformer en appel, appel visant à retrouver la satisfaction ainsi obtenue. Ce qui implique, de la part de cette mère, une interprétation des besoins de son bébé il a faim, froid, mal au ventre, il est mouillé, etc. Si, comme c’est le cas le plus fréquent, elle ne se limite pas à répondre par une action, mais, lui supposant une compréhension, formule à l’enfant ses interprétations Oh, le bébé, il a fait son dodo, il avait faim… », avec ces inflexions si caractéristiques repérées par les linguistes, elle va transformer son appel en demande. Demande de quoi ? Demande d’elle, de sa venue, non seulement avec l’objet du besoin, mais avec ses paroles, à lui adressées, qui l’accompagnent. La mère devient elle-même objet de satisfaction mais, en même temps, de frustration. Car, elle est ainsi constituée comme toute-puissante, puisqu’elle peut ou non répondre à cette demande et que c’est cette réponse qui sera cherchée pour elle-même, comme preuve de son intérêt pour lui. D’où cette autre formule de Lacan que toute demande est une demande d’amour. 7Demande nécessairement frustrante, dans la mesure où la mère ne saurait, et c’est heureux, être exclusivement et constamment tournée vers son enfant. Demande, de ce fait, jamais totalement satisfaite et toujours à renouveler. Est-ce à dire que l’enfant va ainsi passer son temps, de demande en demande, à tenter d’obtenir la confirmation impossible de l’amour maternel total ? Ce peut-être le cas, si celle-ci, ne renonçant pas à être tout-amour pour l’enfant, s’installe, imaginairement, dans cette position de toute-puissance, en voulant croire et lui laisser croire qu’elle peut répondre à toutes ses demandes, qu’elle a tout ce qu’il lui faut. Comment alors, pour l’enfant, lui signifier, autrement que par une surenchère de la demande, que ce qu’elle lui donne son sein, ses bras, son temps, son argent…, ça n’est pas ça ? L’amour, disait encore Lacan, c’est donner ce que l’on n’a pas. Et c’est donc, au contraire, la défaillance de la mère qui va permettre à l’enfant de passer à un autre registre que cette frustration sans fin, celui du désir. Qu’elle soit manquante et qu’elle cherche ailleurs, ailleurs qu’en elle-même et ailleurs qu’en lui, une satisfaction va amener l’enfant à souhaiter obtenir, au-delà des objets fantasmatiques de leurs échanges, le sein pour la demande orale et les fécès pour la demande anale [3], ce qu’elle semble chercher, ce qui lui fait défaut. D’où cette autre formule de Lacan que le désir, c’est le désir de l’Autre, à entendre dans le double sens subjectif et objectif à savoir qu’il désire être la cause du désir de l’Autre et qu’il trouve dans l’Autre la cause de son propre désir. D’où aussi ce constat que si la demande porte sur un objet, le désir, lui, porte sur un manque, et dont l’enfant n’a pas d’abord idée autrement qu’à travers ces signes que sont les conduites par lesquelles la mère s’absente de lui et les verbalisations éventuelles qui les accompagnent. À partir de quoi, elle constituera pour lui les insignes de ce qui est désirable et qui sera finalement symbolisé, dans le procès œdipien, par le phallus, situé chez le père, lequel apparaît ainsi comme ayant lui et lui seul pouvoir et droit de jouir d’elle. Ainsi, ce qui est visé dans le désir se trouve au-delà de l’objet supposé le susciter et ne peut-être que manqué. C’est ce dont Freud, déjà, avait fait le constat avec la notion de l’objet perdu de la première satisfaction, le sein maternel, qui induit la recherche d’objets substitutifs jamais pleinement satisfaisants. Dans un texte de 1912, Sur le plus général des rabaissements de la vie amoureuse [4] », il conclut ainsi à une difficulté inhérente à la pulsion sexuelle Aussi étrange que cela paraisse, je crois que l’on devrait envisager la possibilité que quelque chose dans la nature même de la pulsion sexuelle ne soit pas favorable à la réalisation de la pleine satisfaction. » Et il rattache ce quelque chose » à ce constat de la psychanalyse Lorsque l’objet originaire d’une motion de désir s’est perdu à la suite d’un refoulement, il est fréquemment représenté par une suite d’objets substitutifs dont aucun ne suffit pleinement. »Demande et répétition8D’où ces conduites de répétition qui visent non pas à retrouver l’objet, irrémédiablement perdu, mais à le faire exister comme perdu en le ratant d’aussi près que possible, pourrait-on dire. Lacan pointera le caractère mythique de cet objet perdu freudien qui vient habiller de la nostalgie d’une jouissance première avec la mère, ce trou de l’origine, ce réel au-delà de toutes les représentations qu’en a le sujet [5] », qu’il nommera la chose », dans le séminaire L’Éthique de la psychanalyse [6]. C’est à partir de ce lieu hors signifiant, lieu du refoulement originaire, que s’organise la dialectique de la demande et du désir. Dialectique que Freud repère à travers les impasses de la répétition, par exemple dans les névroses d’échec, mais aussi bien et plus subtilement à l’œuvre dans les conduites ordinaires par lesquelles nous mettons régulièrement en perspective des objets à obtenir, des projets à réaliser, des récompenses à décrocher, des défis à relever, selon des modalités propres à chacun, et dont la satisfaction, sinon totalement ratée, laissera ce réel approché mais hors d’atteinte et ne pourra être que partielle et temporaire, permettant la relance du désir vers d’autres objectifs. 9S’agissant des patients qui nous arrivent, et puisqu’ils nous arrivent, il est probable qu’ils sont, plus que d’autres, empêtrés dans la répétition, du côté de l’échec plutôt que de la réussite. Et leur demande à notre endroit est à considérer de la même façon, à la fois comme une tentative ultime de sortir du ratage et de la souffrance qui l’accompagne et comme une tentative supplémentaire de le reproduire et de s’en faire confirmer l’inéluctable, corroborer leur fantasme, certifier leur symptôme. Ce que nous ne manquerions pas de faire simplement en répondant à leur demande initiale, dans les termes où ils la posent. Ainsi, dans l’exemple de ce petit Johnny, répondre par un examen, un test et, éventuellement, par un certificat attestant que l’enfant est ou n’est pas, peu importe, plus agressif qu’un autre, reviendrait à certifier toute la détermination inconsciente qui préside à la demande, au prix d’y enfermer un peu plus l’enfant. C’est donc, là, la raison de la suspension de la réponse à la demande qui va permettre, au contraire, de déployer ces déterminations, au fil des demandes substitutives, explicites ou implicites, qu’elle va engendrer. 10On peut rendre compte de ce mouvement de la manière suivante Figure 1Tours de la demandeTours de la demande11La demande initiale du patient, souvent non explicitement formulée de savoir s’il est curable, d’avoir un diagnostic, un certificat, un conseil pour faire un choix dans son existence…, de ne pas trouver son objet, va en faire le tour et entraîner une deuxième demande, à la fois semblable structuralement et différente phénoménologiquement, qui elle-même va faire le tour de son objet sans l’atteindre, etc. Ainsi, progressivement, le patient va entrer plus avant dans la formulation de ce que cette demande traduit, son rapport à l’Autre et à l’objet, avec les conflits, résistances, ambivalences… dans lesquels il est pris. Il va déployer le réseau symbolique qui le constitue comme sujet de sa demande, non sans que s’interposent, de façon récurrente, dans la relation à l’analyste, les obstacles imaginaires du moi reproches à l’analyste sur sa façon de procéder, questionnement sur ses intentions, crainte de son jugement, etc.. Ces obstacles, que Freud repère sous le terme de résistances et qui sont, en réalité, l’actualisation dans le transfert du rapport à l’Autre du patient, dans sa dimension infantile, conflictuelle, auront à être traités et levés, au fur et à mesure, pour que la parole reprenne le cours de l’association libre. Mais jusqu’à quand ? Car, selon ce modèle, on ne voit pas ce qui pourrait mettre fin à cette relance de la demande. Or, ce que fait apparaître la clinique, c’est que ces tours de la demande ne dessinent pas un parcours linéaire mais circulaire, que l’on peut représenter ainsi Figure 2Tours de la demande et du désirTours de la demande et du désir12Régulièrement, la demande repasse par son point de départ, elle revient dans les mêmes termes dans la parole de l’analysant et, selon les cas, soit sur le mode de la plainte Je tourne en rond » ou Ça, je vous l’ai déjà raconté »… soit avec le sentiment de satisfaction d’avoir bouclé un tour. En effet, le patient tourne en rond, boucle des tours autour d’un autre objet, logé dans le vide central ainsi dessiné, objet qui cause son désir et le détermine comme sujet de désir et non pas seulement de demande. Il pourra ainsi, au terme de son parcours, être davantage en mesure de se positionner par rapport à ce qu’il désire, lui, que par rapport à ce qu’il suppose devoir obtenir de l’autre, ou lui procurer, comme témoignage d’amour. Il lui faudra, en général, plus d’un tour pour se résoudre à prendre cette position de responsabilité et ne pas attendre de l’autre qu’il lui dicte sa désir de l’analyste13Le temps de l’analyse, c’est précisément le temps qu’il faudra pour que l’analyste, mis en place d’Autre, dans ce trou central par l’analysant supposé savoir ce qu’il en est de son désir et en receler l’objet, soit peu à peu destitué de cette place et cet objet, dit par Lacan objet a, dénudé. Ainsi, il apparaît que ce tore, nom de la figure topologique dessinée par ce parcours de la demande, s’enroule autour d’un deuxième tore, celui de l’analyste qui vient occuper, pour l’analysant, la place de l’ 3Enlacement des deux toresEnlacement des deux tores14Et où l’on constate que la demande de l’analysant porte sur l’objet du désir de l’analyste, tandis que son désir porte sur la demande de l’analyste. Et, inversement, dans la vie ordinaire, où ce deuxième tore, celui de l’Autre peut-être incarné par un petit autre le conjoint, un supérieur, un maître, etc., ou une instance l’état, l’université, l’entreprise, Dieu, etc.. Dans la situation analytique, c’est cette réciprocité qui est suspendue et permet le déroulement et l’achèvement du travail analytique c’est parce que l’analyste ne désire rien d’autre que le déploiement de la demande de l’analysant, grâce à la mise en œuvre de la règle fondamentale Dites tout ce qui vous vient… », autrement dit, qu’il ne se prend pas pour le grand Autre pour qui le prend l’analysant, mais accepte de n’être que le support momentané de l’objet cause de son désir, que celui-ci peut-être dégagé, et la relation analytique évoluer différemment d’une relation ordinaire, mais aussi d’une relation psychothérapeutique. Car si l’analyste est réputé neutre relativement aux opinions, situations, événements dont l’analysant fait état, c’est néanmoins de l’orientation de son désir que dépend l’opération analytique. 15Je l’illustrerai par l’exemple de cette femme reçue pour un entretien unique dans le cadre d’une consultation en institution. Madame G. a demandé à voir un psychologue, car, dit-elle, à l’occasion d’une dépression, il y a une dizaine d’années, elle a suivi une psychothérapie et se demande si elle ne devrait pas, aujourd’hui, reprendre quelque chose. Dépression ? Psychothérapie ? Reprendre quelque chose ? L’entretien fait apparaître que, vivant mal le sentiment d’être délaissée par son mari, elle avait obtenu de lui qu’ils aillent consulter une conseillère conjugale. Après la première séance, il n’avait pas voulu poursuivre une démarche dont il n’était, en fait, pas partie prenante. La conseillère conjugale avait alors proposé à Madame G. de continuer à venir seule, ce qu’elle a fait pendant deux ans. Cela l’a aidée à dépasser ce moment difficile, mais, finalement, aujourd’hui, les choses n’ont pas réellement changé son mari ne lui accorde pas davantage de considération et elle pense qu’à l’âge où elle arrive, il est temps, encore temps, pour elle de décider ou non de changer le cours de sa vie. Elle aurait pour cela besoin d’être aidée, mais se demande si elle doit retourner consulter la même personne ou quelqu’un d’autre. En dehors de son appellation officielle, il s’agit bien sûr de savoir si cette conseillère conjugale est en mesure d’entendre cette demande de parole et de la mettre au travail. À mes questions, Madame G. répond que cette personne l’a, à l’époque, beaucoup aidée et soutenue Je pouvais lui parler de mes problèmes, je me sentais nulle et, avec mon mari, impossible d’engager la moindre discussion. Et puis, elle me donnait des conseils. » Suivant le précepte freudien que l’exemple est la chose même », je lui en demande un. Eh bien, une fois, je lui racontais comment une dispute avec mon mari était survenue parce que je lui avais dit qu’une femme à qui son mari ne prête pas d’attention pourrait aller voir ailleurs. Elle m’a expliqué qu’il valait mieux dire positivement “Je souhaiterais que tu t’intéresses plus à moi.”Et, en effet, ça évitait des conflits. » Plus tard, dans l’entretien, comme elle revient sur son insatisfaction affective et sexuelle, je lui dis Et vous disiez qu’une femme que son mari délaisse pourrait aller voir ailleurs ? » Oui, me répond-elle… et d’ailleurs, c’est ce que j’ai fait… » Elle me raconte alors comment, ayant confié sa détresse à son médecin, celui-ci a engagé avec elle une relation amoureuse sur laquelle elle a fondé des espoirs, hélas rapidement déçus, lui n’ayant pas l’intention de s’engager durablement avec elle. Elle en est sortie profondément blessée, humiliée au point qu’elle n’a pu, jusqu’alors, en parler à personne. 16On voit là comment le désir de cette femme d’une rencontre avec un homme qui la reconnaîtrait comme femme peut ou non venir dans la parole selon le désir de celui à qui elle s’adresse. Dans son intervention, probablement d’inspiration systémique et en tout cas centrée sur les interactions du couple, la conseillère conjugale, bien que recevant madame G. seule, n’en reste pas moins animée du souci de réparer le couple. Tandis que le simple fait de pointer cette formule, qui exprime sous forme impersonnelle son désir, conduit au cœur de celui-ci et a un effet immédiat de subjectivation, fût-ce dans la souffrance. Quant au médecin, qui s’offre en acte comme réponse à l’insatisfaction de madame G., accordons-lui, au bénéfice du doute, qu’il lui est arrivé ce qui arrive à qui se met en situation de laisser se déployer la demande d’un autre sans avoir fait le travail préalable de reconnaître son propre désir. Le docteur Joseph Breuer, maître et ami de Freud, prenant la fuite devant la grossesse imaginaire d’Anna O., selon la version d’Ernest Jones [7], en reste l’exemple mythique pour les psychanalystes au commencement était l’amour. C’est pour savoir, l’ayant appris de Freud et expérimenté dans sa propre analyse, que, dans cet amour, il est pris pour un autre [8], qu’il peut s’abstenir d’y répondre et permettre la reconnaissance de son désir par l’analysant. Notes [1] Freud S., 1920, Sur la psychogenèse d’un cas d’homosexualité féminine », Névrose, psychose et perversion, Paris, Puf, 1977. [2] À partir du même exemple, R. Neuburger résume ces conditions en disant que la demande se compose de trois éléments l’allégation, le symptôme et la souffrance. Si ces éléments ne sont pas portés par la même personne, il convient de réunir les différentes personnes porteuses de la demande dissociée, pour un travail préalable sur les interactions. Il ne me paraît pas pour cela nécessaire, comme le pense R. Neuburger, d’avoir recours aux théories systémiques que les psychanalystes, même s’ils peuvent y trouver des enseignements, n’ont pas attendues pour travailler avec les familles ou même avec des R., 1980, Aspects de la demande en psychanalyse et en thérapie familiale », Thérapie familiale, 1 2 133-144. [3] Ce sont là les objets prégénitaux » freudiens, correspondant aux pulsions orale et anale, auxquels Lacan ajoutera le regard pour la pulsion scopique et la voix pour la pulsion invocante et qu’il rangera sous la catégorie de l’objet a, objet cause du désir, que la caractéristique d’être détachables du corps rend susceptibles d’entrer dans une relation d’échange être donné ou reçu, voire confisqué pour l’objet du stade phallique, le phallus imaginaire. [4] Freud S., 1912, Sur le plus général des rabaissements de la vie amoureuse », La Vie sexuelle, Paris, Puf, p. 64. [5] Chemema R., Vandermersch B., 1998, Dictionnaire de la psychanalyse, Larousse-Bordas, p. 55. [6] Lacan J., 1959-1960, L’Éthique de la psychanalyse, Le Séminaire, Livre vii, Paris, Seuil, 1986. [7] Jones E., 1958, La Vie et l’œuvre de Freud, i, Paris, Puf, 1970, pp. 247-248. [8] J’avais l’esprit assez froid pour ne pas mettre cet événement au compte de mon irrésistibilité personnelle », note Freud avec humour lorsqu’une patiente lui jette les bras autour du cou au réveil d’une séance d’hypnose. Freud S., 1925, Autobiographie », Ma vie et la psychanalyse, Paris, Idées/Gallimard, 1975, pp. 35-36.

elle me demande de lui laisser du temps